Irrésistible prince à Versailles

Il y a quelques jours, Patrick Kabongo faisait sensation à l’Opéra Royal de Versailles dans la triomphale production de Cendrillon, version française de La Cenerentola de Rossini. La presse en parle:

„Voici le ténor rossinien qui monte (dans tous les sens du terme): Patrick Kabongo est sans l’ombre d’un doute fait pour camper les princes charmants, se jouant avec une aisance sidérante des notes les plus escarpées que comporte son air, où il révèle une technique à l’assurance sans défaut, alliée à une naturelle élégance dans le jeu d’acteur.“ (Diapason, Emmanuel Dupuy, 13.10.25)

„Le Rodolphe de Patrick Kabongo confirme qu’il est le ténor belcantiste qui monte“. (Le Figaro, Thierry Hillériteau, 15.10.25)

„Le Prince de Patrick Kabongo impressionne par sa vaillance et son aisance scénique, les vocalises fusent, tout comme les aigus, sans effort apparent.“ (Forumopera, Yves Jauneau, 13.10.25)

„Patrick Kabongo – en Prince Don Rodolphe – rayonne avec une voix claire, lumineuse et à la projection ample. Ses aigus sont solidement ancrés et ses vocalises fusent avec une aisance déconcertante. Son jeu est un subtil mélange de charme, de drôlerie et de noblesse, formant avec son valet un duo qui déclenche des rires francs dans la salle.“ (Classique News, Emmanuel Andrieu, 15.10.25)

„Rodolphe, le prince qui se fait passer pour un valet, profite de la voix légère mais merveilleusement nuancée et à la diction parfaite du ténor Patrick Kabongo.“ (Les Echos, Philippe Venturini, 13.10.25)

„Patrick Kabongo a déjà été Ramiro, notamment au Mai Musical Florentin, et son expérience rossinienne l’aide à triompher sans peine de son rôle de prince charmant.“ (ConcertClassic, Laurent Bury, 15.10.25)

„Patrick Kabongo déploie un timbre clair et une agilité rayonnante.“ (cult.news, Yaël Hirsch, 17.10.25)

„En Don Rodolphe, Patrick Kabongo rayonne par sa voix claire et lumineuse, au timbre pétillant, à la projection ample et aux aigus solidement ancrés. Sa longueur de souffle impressionnante lui permet d'aborder avec aisance les redoutables envolées belcantistes. Son subtil jeu scénique en fait un Prince à la fois drôle, charmant et désarmant, particulièrement dans les scènes cocasses partagées avec son valet déguisé.“ (Ölyrix, Olga Szymczyk, 13.10.25)

05.11.25